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dimanche 4 janvier 2015

samedi 13 décembre 2014

Elle aussi

Tout le monde a droit à son gilet… y compris la petite citrouille qui a eu un joli gilet rayé sur le modèle de celui tricoté pour sa soeur, et en utilisant uniquement le reste des pelotes. J’en suis plutôt contente… et elle aussi, vu qu’elle veut le porter tout le temps !

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dimanche 20 octobre 2013

Trois ans !

Trois ans, ce n’est pas le nombre d’années d’existence du blog, mais l’anniversaire qu’a célébré La Citrouille cette semaine. Pour une telle occasion, elle méritait bien un nouveau pull :

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Elle était très contente de le porter, et de poser avec aussi !

Il s’agit d’un modèle Debbie Bliss, normalement en taille 2 ans, mais je suis partie du constat que cette créatrice taille souvent trop large, tout en tricotant avec une taille d’aiguille légèrement supérieure… Le résultat tombe exactement comme je le voulais, je suis assez contente de moi, pour le coup.

mercredi 2 octobre 2013

Le jour du hérisson

Petite activité automnale pour les filles : ramassage de feuilles mortes, puis…

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J’ai dessiné (vaguement) la forme d’un hérisson et les ai invitées à coller les feuilles dessus

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Voilà la version de La Môme Caoutchouc, qui avait décidé de ramasser aussi des fleurs.

La Citrouille a préféré décoller rapidement les feuilles collées, donc je ne peux pas exposer son oeuvre… Tant pis

jeudi 28 mars 2013

Activité du mercredi

Hier, c’était mercredi. Pâques s’approche, donc j’en ai profité pour faire quelques activités avec les filles (ça faisait longtemps)

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Voilà deux petites filles qui ont peint des poules !!!

lundi 5 mars 2012

Histoire de doudou

Notre "grande", la Môme Caoutchouc, n'a jamais eu de doudou attitré. Elle passe allègrement d'une peluche à l'autre selon l'envie du moment, et ça nous convient très bien.
Un soir, La Citrouille a vu sa soeur prendre une peluche pour aller se coucher et a voulu faire de même. J'ai puisé au hasard l'une d'entre elles, pas trop grande, qui était sur le sommet de la pile (mais non, elles n'ont presque pas de peluches nos filles. Quelle idée !)
Depuis, elle me la réclame au moment du coucher.
Pour ne pas risquer d'être coincée au cas où la peluche disparaîtrait, j'ai tenté un échange avec un autre modèle, au bout de trois soirées. Résultat : maintenant, elle veut les deux peluches en question quand vient l'heure d'aller au lit. J'avoue que je n'ose pas retenter l'expérience avec un nouvel animal en acrylique…
L'avantage, pour le moment, c'est qu'elle a compris que ces doudous restaient au lit et ne la suivaient pas dans ses pérégrinations de la journée. Elle les sort parfois en se levant, mais elle les range d'elle-même après le biberon du matin.
Mais elles sont maintenant devenues des éléments incontournables du rituel du coucher. D'ailleurs, La Citrouille commence même à dire "doudou" (alors qu'elle appelle sa soeur "papa" et que son "maman" est loin d'être clairement identifiable. On voit où vont ses préférences…)

vendredi 23 décembre 2011

Petite sœur, grande sœur

J'adore voir la relation qui se construit entre mes deux filles. La Citrouille se précipite vers sa sœur dès qu'elle la voit, pour lui faire des câlins. Que ce soit le matin au réveil, à la fin de la journée quand elles se retrouvent, il n'y a pas moyen d'y couper.
À côté de ça, elle est aussi très jalouse si elle voit sa grande sœur me faire un câlin, et n'hésite pas à lui tirer les cheveux pour la faire partir… avant de se frotter contre elle pour se faire pardonner, en la prenant dans ses petits bras.
La plupart du temps, La Môme Caoutchouc est aussi attentive à sa sœur, il faut qu'elle ait sa part de gâteaux comme elle, elle la surveille, c'est vraiment adorable.
J'espère juste qu'elles garderont cette complicité (faite aussi de conflits) en grandissant.

Et, comme j'ai pu le découvrir aujourd'hui, elles partagent vraiment tout… même les poux (arrgh, ils sont de retour !)

vendredi 9 décembre 2011

Noël

Les fêtes de Noël arrivent. Et je suis très contente d'avoir déjà tous les cadeaux prêts à la maison (ouf, je vais éviter la foule des magasins).
Par contre, les conversations des mères de famille en ce moment me hérissent. Elles s'inquiètent de ne pouvoir fournir que 2 ou 3 cadeaux par tête à leurs enfants... Ce qui me semble un peu, beaucoup, exagéré.
Je comprends l'envie de gâter ses enfants. C'est magique de voir leurs regards briller quand ils découvrent leurs cadeaux. Mais je ne pense pas que ce soit leur rendre service que de les surcharger de présents. Surtout que, il ne faut quand même pas se voiler la face, il n'y a pas que les parents (oups, le père Noël) qui va leur offrir des surprises : grands-parents, famille étendue, voire à l'école... La plupart du temps (sauf les cas particuliers, bien sûr), ils ne souffrent pas d'une grave pénurie de cadeaux.
Et puis, quand on était jeune, on recevait un paquet et on était déjà bien contents, non ? (et je ne remonte pas si loin dans le temps, à l'époque où une orange était une surprise appréciable).
Alors, quand on pense aux calendriers de l'avent avec des petites surprises chaque jour, plus la profusion de paquets sous le sapin, ça me semble juste... trop.

Je ne suis quand même pas la seule à penser ainsi (et à n'offrir qu'un seul cadeau à mes bouilles d'amour le soir du réveillon) ?

samedi 22 octobre 2011

Un an et une semaine

Comme pour chaque anniversaire, je me suis lancée dans le test de gâteau maison.
Cette année, c’était un gâteau arc-en-ciel en forme de tête d’ourson (oui, rien que ça !)

le gâteau d'anniversaire (un peu d'imagination, c'est une tête d'ours)

Bon, mon glaçage blanc était un peu trop liquide, donc la bouche, les moustaches et les yeux ne sont pas très ressemblants. Mais voyez un peu l’intérieur…

et l'intérieur du gâteau

Puis, visiblement, il a eu du succès

elle y a bien goûté

et c’est bien tout ce qui compte, non ?

jeudi 29 septembre 2011

Et dans trois semaines...

Et non, je ne parle pas que de lectures sur ce blog.
Comme je l'avais fait pour La Môme Caoutchouc sur mon précédent blog, il est temps de faire un petit point sur la vie de La Citrouille… trois semaines avant son anniversaire.

(je cherche en général à éviter les comparaisons, mais cet article me donne l'occasion d'en faire une)

Là où… sa sœur avait trois dents
    Elle commence seulement à sortir la première (qui met des jours et des jours à se hisser péniblement hors de la gencive, d'ailleurs)
    … sa sœur mangeait trois repas par jour
    Elle aussi ! Et le biberon du matin reste notre petit moment câlin à nous.
    … sa sœur tenait debout sans se tenir trois fois trois secondes
    Elle a multiplié encore la donne. Il faut plus compter en minutes, pour elle, et il y a un moment que nous ne les comptons plus !
    … sa sœur dormait au maximum au total 3 heures sur ses siestes de la journée
    Elle reproduit le schéma. Mais bon, je ne vais pas me plaindre : elles dorment la nuit, mes filles, c'est plutôt bien, non ?
    … sa sœur savait faire un tiers de pas sans se tenir
    Elle avance beaucoup plus longtemps. Bon, allez, je peux le dire : elle marche carrément, traverse des pièces, grimpe sur le canapé, monte l'escalier… Je crois qu'elle se débrouille pas mal.
    … les cheveux de sa sœur mesurait trois centimètres de long
    Les siens ont un peu plus poussé (je peux lui faire une couette). Mais il faut dire qu'elle avait un avantage dès le départ, pour cette course-là.
    … sa sœur disait presque trois mots
    Elle se contente de "da" et "ta" à toutes les sauces. Le dialogue n'est donc pas son fort, pour le moment, même si elle sait très très bien se faire comprendre.

Bref, elles sont différentes, mais ça, je le savais déjà.

mardi 30 août 2011

Jalousies

Il y a peu de temps encore, lorsque l’on me demandait si La Môme Caoutchouc était jalouse de sa Citrouille de soeur, je répondais par la négative.

Mais c’était avant que des pattes ne poussent à la Citrouille et qu’elle ne se mette à se déplacer un peu partout, et surtout vers les lieux où jouait son aînée. Une fois arrivée là, quoi de plus naturel que de l’imiter en empruntant au passage ses jouets ?
Malheureusement, un tel comportement ne pouvait être toléré longtemps.

Depuis quelques semaines, La Môme Caoutchouc exprime donc avec vigueur son mécontentement. Cela va des menaces “je veux la tuer” aux actes de mise en danger (il suffit de se détourner pour qu’elle soulève sa cadette et la hisse sur le canapé, d’où je lui ai déjà expliqué qu’elle pouvait tomber). C’est sans compter les multiples fois où elle la frappe, la pousse, la pince, et j’en passe.

Je ne soupçonnais pas un comportement si violent chez elle, et j’avoue que je suis désarçonnée.
Je sais qu’il est normal que des enfants se chamaillent.
J’essaye de faire preuve d’équité en grondant la Citrouille voleuse de jouets autant que La Môme Caoutchouc.

Mais j’avoue néanmoins que je serai soulagée quand l’école recommencera et que je n’aurai plus à jouer au gendarme à la maison… ni à craindre un accident plus ou moins volontaire.

mercredi 27 juillet 2011

Comme des chiens

Doit-on dresser un enfant ou l’élever ? Je pencherais plutôt pour la deuxième option, même si certains m’affirment que je ne dresse pas assez mes filles.
Pour moi, s’occuper d’un enfant, c’est lui apprendre à trouver le meilleur en lui-même… et lui donner les moyens de l’apporter au monde.
Pour d’autres, il s’agit surtout de les faire rentrer dans le moule, pour ne surtout pas déranger.

Oui, un enfant, ça met le bazar, dans la vie comme dans une maison. Il s’exprime, et ce n’est pas toujours dans le calme. Il a le droit d’avoir ses opinions et que ce ne soit pas les mêmes que les miennes.

Pourtant, je suppose que je fais aussi un peu de “dressage” quand je lui répète “dis bonjour, s’il te plait, merci…”, quand je lui apprends à se laver les mains, à s’essuyer les pieds… quand je répète sans arrêt les mêmes choses en la félicitant quand elle retient sa leçon et en grondant (au sens propre comme au figuré) quand elle sort des clous.
Peut-être que les limites de ce qui est pour moi un minimum réglementaire, qu’il faut absolument avoir appris, ne sont pas les mêmes pour tout le monde.

Est-ce que je veux avant tout que mes enfants m’obéissent au doigt et à l’oeil ? Ou est-ce que je les considère comme des personnes, et que je leur accorde une certaine liberté de penser ?

Après tout, qui d’entre nous dirait à un adulte “maintenant tu mets la table, tout de suite, et sans discuter” ? Mais, d’une autre côté, si un enfant n’entend jamais cette phrase, peut-être deviendra-t-il un adulte à qui l’on aura envie de faire ce genre de remarque ?
Moi, je lui dis juste “tu participes, parce que tout le monde aide à la maison”.
Mais on ne peut sans doute pas expliquer tout le temps non plus.

Si je considère le dressage d’enfants comme une atteinte à la dignité humaine, suis-je en train de faire d’elles de mauvaises adultes ?

jeudi 16 juin 2011

Envie de grandir ?

Voilà une Citrouille qui semble bien pressée de grandir

debout ! à la lecture

A seulement 8 mois, elle n’est pas un peu jeune pour se tenir debout et pour lire ?

Surtout qu’elle devrait profiter du moment présent : pour le moment, quand elle joue dans le bain et éclabousse partout, on dit “oh, regarde ce qu’elle sait faire maintenant ! Elle est trop drôle.”

Quand La Môme Caoutchouc tente le même genre d’effets, elle se fait sévèrement reprendre.

C’est trop inzuste !

mardi 7 juin 2011

Moins dix jours

Dans dix jours maintenant, notre Citrouille aura huit mois. Voilà l’occasion de faire le point sur ce qu’elle sait faire ou non… d’autant plus qu’elle a beaucoup progressé en quelques jours.

Elle sait maintenant ramper à reculons ou en tournant en rond dans la pièce. Elle n’a juste pas encore trouvé la marche avant.

Elle se décide enfin à dire “ba ba ba ba ba”. Elle appelle son père pour qu’il s’occupe d’elle, c’est évident, non ?

Elle profite de la moindre occasion pour se mettre debout, même toute seule, même dans la baignoire (si, si).

Elle boit toute seule dans sa tasse à bec (et me regarde d’un air coquin dès qu’elle l’attrape).

Elle refuse que je regarde un livre si elle n’en a pas un en main. Elle rêve d’attraper la télécommande de la télévision. Elle est une pro du raccourci clavier –que-je-ne-sais-pas-comment-elle-fait sur l’ordinateur.

Elle attrape toujours absolument tout ce qui est à sa portée, et comme elle commence à se déplacer, son champ d’action est de plus en plus grand. Je commence à m’inquiéter par rapport aux jouets de sa soeur et au risque potentiel qu’elle les avale.

Elle commence à saisir la notion de “non” appliquée aux objets qu’elle ne peut pas toucher.

Un de ses jeux favoris est de se cacher (derrière ses mains ou un morceau de tissu) puis d’éclater de rire quand je dis “oh mais tu es là” une fois qu’elle se découvre.

Bref, elle grandit, un peu plus chaque jour, et je profite de ce temps qui passe.

lundi 30 mai 2011

Ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre

C’est assez incroyable comme deux enfants peuvent à la fois se ressembler et être différent. Alors que je trouvais La Môme Caoutchouc agitée (après tout, son surnom vient du fait qu’elle remuait dans tous les sens), la Citrouille se révèle… pire encore.
On pourrait l’appeler Zébulon, parce qu’elle tournicote dans tous les sens.
On la surnomme La Pieuvre, parce qu’elle semble avoir plein de mains pour attraper tout ce qui est à sa portée.
Je ne vais pas tarder à lui répéter “gogo gadgeto-bras”, tant elle semble s’allonger pour atteindre tous les objets que l’on pense suffisamment éloignés.
A l’inverse de sa soeur au même âge, elle n’est pas du tout bavarde, par contre. Elle pousse des petits cris, ça oui (cette enfant est aussi dite “la mouette baveuse” : cris, mouvements de bras pour s’envoler et bave, tout y est), mais rien que l’on pourrait apparenter à un son reconnaissable.
Elle refuse la position couchée sauf pour dormir, et semble déjà bien pressée de se mettre debout.
Quant au sommeil… Chaque jour change aussi là-dessus, et j’aurais pensé avoir, à ce stade, déjà des repères plus identifiés.

dimanche 8 mai 2011

Tout a une fin

Et voilà, j’écrivais à peine ce texte, fortement inspiré par Eddy Mitchell, et le médecin, estimant sans doute qu’après bientôt sept mois, la question ne se posait plus, m’a fait prendre des médicaments déconseillés en cas d’allaitement.
Comme j’allaitais pour donner le meilleur de moi-même, je suppose qu’il était donc temps d’arrêter… La dernière tétée a eu lieu. J’ai comme un pincement au coeur pour cette page qui se tourne, qui me signale qu’il est temps de passer à autre chose.
Ces quelques mois de congé m’auront au moins appris à prendre le temps de savourer ce temps qui passe, justement, et souvent bien trop vite.

samedi 7 mai 2011

La dernière tétée ?

Petit à petit, on en arrive au jour où je donnerai la dernière tétée de la Citrouille. Déjà, elle n’y a plus droit que le matin. Et j’avoue que, les jours où elle se nourrit moins, sentir ma poitrine tendue jusqu’au lendemain matin est assez douloureux. Puis je me dis qu’il faudra bien que j’arrête un jour ou l’autre (même si certaines sont prêtes à m’affirmer que si, je peux continuer ainsi jusqu’à ses dix ans, je dois avouer que ça me tente moyennement).
J’apprécie pourtant ce moment rien qu’à nous, quand toute la maisonnée dort encore (cela dit, si elle envisageait de prendre son petit déjeuner en même temps que les autres, je ne lui en voudrais pas). J’aime qu’elle soit collée à moi, la main posée sur mon torse, à même la peau, dans cette pénombre qui se dissipe lentement et le calme qui précède l’agitation de la journée.
Ce sera sans doute un passage étrange à négocier, et je pourrai chanter, en choeur avec Eddy Mitchell
La journée commence déjà
Et la nuit est terminée
Elle me réveille sans un câlin
Je dormais comme un nouveau-né
Je relève mon oreiller
J'ai une envie de bailler
C'était la dernière tétée
C'était la dernière tétée
Et le tissu sur le sein est tombé

Bye Bye les deux ronds que j'aimais
Votre temps est terminé
Bye Bye rendez-vous à jamais
A mon lait toujours chauffé
C'était vraiment bien l'enfance
Mais c'est la dernière tétée
Et le tissu sur le sein est tombé

mardi 3 mai 2011

Mère indigne

Comme beaucoup de mères, j’ai souscrit aux effets du maternage. Et maintenant, je me sens une mère indigne quand je n’en suis pas tous les préceptes.
Oui, je trouve plus pratique un porte-bébé qui s’enfile avec deux clips qu’une écharpe de portage qui me demande plusieurs minutes pour faire un noeud potable.
Oui, il m’arrive de laisser pleurnicher ma fille sur son tapis de jeu quand je suis occupée (mais en même temps, si je l’ai tout le temps dans les bras, comment elle apprendra à ramper puis à marcher ?)
Oui, j’utilise plus souvent des couches jetables que des lavables, alors que j’en ai pourtant un tiroir plein (mais j’ai déjà tellement de lessives à faire que je n’ai pas envie d’en rajouter une couche… c’est le cas de le dire)
Oui, je n’allaite plus ma fille qu’une fois par jour (et pire, je n’ai pas allaité son aînée. Sacrilège !)
Oui, je lui donne parfois des petits pots à manger (mais le gain de temps, hein, le gain de temps ?)
Pourtant, je ne frappe pas mon enfant, elle est câlinée à volonté, et je me sens pourtant jugée, aussi bien par ceux qui trouvent que je la materne trop que par ceux qui estiment que je pourrais en faire plus. Difficile parfois de trouver le juste milieu…

mercredi 30 mars 2011

Moments de douceur

J’aime…

- quand ma Citrouille me “parle”, d’une petite voix toute timide, comme si elle n’osait pas prononcer les mots
- la tenir dans mes bras, pendant une tétée, alors que je suis en train de lire un livre triste, et apprécier ma chance
- respirer son odeur, sa chaleur, le nez blotti dans son cou

- quand La Môme Caoutchouc se pose sur mes genoux, et que je la tiens toute entière contre moi
- tenir sa main, et savoir qu’elle a encore besoin de moi

lundi 14 mars 2011

Modèle unique

Quand j’ai informé ma pédiatre (enfin… quand je dis ma pédiatre… je vais en PMI et c’est déjà la quatrième depuis la naissance de la Citrouille ! Elle n’a que 5 mois, je me demande qui on verra ensuite) que je voulais introduire les biberons mais que la Citrouille n’était pas d’accord avec moi, elle m’a simplement suggéré d’essayer différents biberons.
J’ai donc testé presque tous les modèles existant sur le marché, surtout ceux “proches du sein maternel”.

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Il faut croire que je suis un modèle unique, inimitable et qu’aucune marque de biberon ne peut me remplacer.
Soit.
Après un mois de présentation quotidienne de biberons, remplis de lait maternel ou artificiel, enrichis en céréales vanillées… j’ai fini par me faire une raison. De toute manière, si j’ai pris ce congé parental, c’est bien parce que je voulais pouponner, non ? Et bien, au moins, je peux le faire. Il me reste encore six mois avant de devoir faire garder la Citrouille, j’aurai bien le temps de lui faire aimer le biberon d’ici là. Et puis, passer une soirée en amoureux, sans bébé, ce n’est pas si important, si ? Ah, si, quand même ! Bon, et bien on patientera un peu alors…

Donc, pour le moment, les biberons sont rangés au placard en attendant d’ouvrir un musée de l’avoir sevrée.
Et puis, là, on commence la cuillère et les compotes et purées. Un combat à la fois, mes enfants, un combat à la fois.