J’apprécie pourtant ce moment rien qu’à nous, quand toute la maisonnée dort encore (cela dit, si elle envisageait de prendre son petit déjeuner en même temps que les autres, je ne lui en voudrais pas). J’aime qu’elle soit collée à moi, la main posée sur mon torse, à même la peau, dans cette pénombre qui se dissipe lentement et le calme qui précède l’agitation de la journée.
Ce sera sans doute un passage étrange à négocier, et je pourrai chanter, en choeur avec Eddy Mitchell
La journée commence déjà
Et la nuit est terminée
Elle me réveille sans un câlin
Je dormais comme un nouveau-né
Je relève mon oreiller
J'ai une envie de bailler
C'était la dernière tétée
C'était la dernière tétée
Et le tissu sur le sein est tombé
Bye Bye les deux ronds que j'aimais
Votre temps est terminé
Bye Bye rendez-vous à jamais
A mon lait toujours chauffé
Et la nuit est terminée
Elle me réveille sans un câlin
Je dormais comme un nouveau-né
Je relève mon oreiller
J'ai une envie de bailler
C'était la dernière tétée
C'était la dernière tétée
Et le tissu sur le sein est tombé
Bye Bye les deux ronds que j'aimais
Votre temps est terminé
Bye Bye rendez-vous à jamais
A mon lait toujours chauffé
C'était vraiment bien l'enfance
Mais c'est la dernière tétée
Et le tissu sur le sein est tombé
Mais c'est la dernière tétée
Et le tissu sur le sein est tombé
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