samedi 13 décembre 2014

Elle aussi

Tout le monde a droit à son gilet… y compris la petite citrouille qui a eu un joli gilet rayé sur le modèle de celui tricoté pour sa soeur, et en utilisant uniquement le reste des pelotes. J’en suis plutôt contente… et elle aussi, vu qu’elle veut le porter tout le temps !

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mardi 9 décembre 2014

La lettre qui allait chanter le destin...

Je ne lis pas que des livres jeunesse... De temps en temps, je lis aussi des livres historiques ou, longtemps après tout le monde, des livres qui ont eu du succès... Comme La lettre qui allait changer le destin d'Harold Fry arriva le lundi

 Couverture La lettre qui allait changer le destin d'Harold Fry arriva le mardi...
4ème de couverture :
Jeune retraité à la vie bien rangée, malmené par une épouse exaspérée par le moindre de ses gestes, Harold Fry reçoit un matin une lettre de Queenie, une vieille amie perdue de vue qui lui annonce sa mort prochaine. Une lettre à laquelle Harold s’empresse de répondre mais qu'il ne postera jamais. Mû par l'intuition qu’il doit remettre cette lettre en main propre à son amie et que, tant qu’il marchera, elle vivra, sans boussole ni carte, sans téléphone ni chaussures de marche, Harold entame une traversée de près de 1 000 km à travers l'Angleterre.
L’occasion pour lui de réfléchir sur sa vie : son enfance douloureuse entre un père alcoolique et une mère absente, sa relation avec sa femme, Maureen, et leur première rencontre, ses rendez-vous manqués avec son fils David, sa vie professionnelle ratée, l’alcool, Queenie... Le destin d’un homme ordinaire prêt à traverser à pied un pays tout entier sur la seule certitude qu’il peut par ce geste sauver son amie.




 Je vais vous épargner le suspens : j'ai plutôt apprécié cette lecture. J'ai bien aimé cet homme à la retraite qui, presque par hasard, se met à réfléchir sur la vie, le sens des choix que nous faisons, le matérialisme... Et puis cette promenade à pied en Angleterre est assez revigorante (elle m'a même donné envie de me remettre aux randonnées)
Le livre contient pourtant également des longueurs, la fin se traîne un peu, comme si l'auteur ne se décidait pas à abandonner son personnage. En même temps, ce rythme suit aussi celui suivi par le personnage, qui tourne en rond et hésite avant d'atteindre la fin de son chemin. Il y a donc une logique dans l'avancée de l'action, dans le cheminement suivi.

Pour tout dire, ce livre m'a fait penser à cet extrait du film Forrest Gump dans lequel le héros se met à courir et est imité par de nombreuses personnes qui ne comprennent même pas vraiment les raisons qui le poussent à agir de cette manière. Il se passe presque exactement la même chose dans le livre

dimanche 7 décembre 2014

Le livre de Perle

Je suis un peu en retard pour vous en parler, mais je ne pouvais manquer de vous présenter le dernier livre de Timothée de Fombelle : Le Livre de Perle.
Couverture Le Livre de Perle


4ème de couverture : Tombé dans notre monde une nuit d’orage, un homme emprunte le nom de Joshua Perle et commence une vie d’exilé. Cette nouvelle vie fugitive, déchirée par un chagrin d’amour, est aussi une quête mystérieuse. Au fil du siècle, Perle rassemble un trésor pour défaire le sort qui l’a conduit loin de chez lui. Mais ceux qui l’ont banni et le traquent le laisseront-ils trouver le chemin du retour? Perle a-t-il raison de penser que la fille qu’il aime l’attend toujours là-bas?


Timothée de Fombelle est un auteur que j'aime beaucoup, j'ai déjà eu l'occasion de vous en parler précédemment. Il n'a pas démérité avec ce nouvel ouvrage. Un auteur qui peut écrire des phrases comme "La nuit avait tout fait pour que je tombe avant elle. Mais j'étais encore debout" a d'ores et déjà toute mon attention. Or, Timothée de Fombelle écrit bien, mais c'est aussi un véritable conteur.

Sur les traces de son héros, on découvre des personnages qui semblent échappés d'un livre de contes de fées, des rescapés de la magie échoués par erreur dans notre monde et qui tentent continuellement de faire le lien entre les deux. Le temps passe, les guerres blessent les hommes et les enfants-rois aiment des fées pendant plus de deux cent pages. Il y a de la poésie, mais aussi de l'aventure, dans ce livre... et un peu d'amour, mais du grand amour.

Ce n'est pas pour rien que ce livre a été élu Pépite du roman adolescent européen 2014. Il s'agit en effet d'une véritable pépite, un petit trésor à emporter dans vos valises et à conserver soigneusement. Il vous ouvrira les malles à secrets de Joshua Perle et vous réconciliera avec votre enfance... Bref, vous l'aurez compris, c'est un peu mon coup de cœur du moment... mais c'est souvent le cas avec les romans de Timothée de Fombelle. A offrir sans modération, aux jeunes comme aux moins jeunes !

mercredi 12 novembre 2014

Charlie and the Toy Shop Gang

 Charlie and the toy shop gang - level 2 par Finnie

Voici un livre pour enfants que je me faisais fort de découvrir avec mon aînée de 8 ans, qui est toute contente de revenir chaque semaine de l'école en ayant appris de nouveaux mots d'anglais.
Nous nous sommes donc installées confortablement, entourées de coussins, et avons glissé le CD dans le lecteur. Il faut quelques instants, qui lui ont semblé long, avant que l'histoire ne débute réellement. Au début, elle suivait le récit avec intérêt, tentant de reconnaître sur les illustrations les personnages qui étaient cités. Ces images sont d'ailleurs vives et résument assez bien l'action. J'ai d'ailleurs choisi de ne pas "traduire" le texte pour ma fille, de voir ce qu'elle comprenait juste avec ce qu'elle entendait et ce qu'elle voyait.
J'ai peut-être commis une erreur car elle s'est assez vite désintéressée du livre, perdue dans les phrases qui s'enchaînaient sans qu'elle puisse réellement suivre ce qu'il se passait. Il faut dire que, même si la voix de la lectrice est très professionnelle, elle peut parfois paraître un peu plate, manquer de relief et de sentiments, ce qui n'aide pas réellement un jeune auditeur à entrer dans l'histoire.
Il est également - et même presque certainement - possible que ma fille soit encore un peu jeune pour réellement comprendre un texte en anglais sans plus d'accompagnement (je lui ai déjà lu des textes en anglais, mais en les traduisant au fur et à mesure de la lecture)
Néanmoins, l'histoire s'adresse plutôt à des jeunes lecteurs, donc j'imagine que vers 10-11 ans, ils seraient plus à même de vraiment en profiter.

mardi 28 octobre 2014

Endgame, l'appel

J'ai eu la chance de lire en avant-première Endgame, l'appel de James Frey
Malheureusement, cela signifie également que la version que j'ai eue entre les mains ne me permettait pas de tenter de résoudre les énigmes codées intégrées dans les versions mises en vente : pas de chasse au trésor pour moi, juste une lecture.


4ème de couverture :
ENDGAME EST UNE RÉALITÉ. ENDGAME A COMMENCÉ.

Douze jeunes élus, issus de peuples anciens. L'humanité tout entière descend de leurs lignées, choisies il y a des milliers d'années. Ils sont héritiers de la Terre. Pour la sauver, ils doivent se battre, résoudre la Grande Énigme.
L'un d'eux doit y parvenir, ou bien nous sommes tous perdus. Ils ne possèdent pas de pouvoirs magiques. Ils ne sont pas immortels. Traîtrise, courage, amitié, chacun suivra son propre chemin, selon sa personnalité, ses intuitions et ses traditions.
Il n'y aura qu'un seul vainqueur.

Une quête survoltée aux quatre coins du globe, menée par la plume nerveuse d'un grand auteur. Addictif !

Au-delà d'une lecture intense, ce livre cache dans ses pages une super-énigme composée de codes et indices imaginés par de grands cryptographes. Menez votre propre quête en tentant de la résoudre. Déchiffrez, décodez et interprétez. Le premier d'entre vous qui y parviendra gagnera une véritable fortune en pièces d'or (Lire les règles du jeu Endgame sur www.endgamerules.com).

En parallèle de cette quête, un jeu mobile novateur conçu par le laboratoire Niantic de Google permet de jouer à Endgame dans le monde réel, en choisissant une lignée et en affrontant d'autres joueurs.

LISEZ LE LIVRE. TROUVEZ LES INDICES. DÉCRYPTEZ L'ÉNIGME.



Ce livre suit les trajectoires de plusieurs personnages, issus de lignées ancestrales, entraînés pour survivre et abattre leurs adversaires.... Ce sont des jeunes gens, entre 13 et 21 ans, ils n'ont qu'une version tronquée de la vie : certains n'ont vécu que pour leur entraînement, d'autres ont essayé malgré tout de mener une vie normale.
Très rapidement, certains personnages sortent du lot. Il est d'ailleurs presque un peu énervant que le personnage le plus charismatique, celui qui provoque le plus l'identification, soit une Américaine sportive mais bonne élève, la plus "normale" de tous les concurrents d'Endgame. Je crois que j'aurais préféré suivre de plus près un personnage un peu moins lisse, même si ses acolytes sont suffisamment surprenants pour compenser.
Les épreuves s'enchaînent donc pour eux, tout comme les règlements de compte. Car il ne peut y avoir qu'un seul survivant dans leur "jeu" étrange (oui, cela fait penser à Hunger Games ou à Battle Royale. Même si l'histoire est bien différente). J'ai souvent eu l'impression que les héros se laissaient plus porter par ce qui leur arrivait qu'ils n'en étaient acteurs, que les choses étaient même presque trop faciles pour eux. Pourtant, ils affrontent des événements difficiles à surmonter (explosions, combats... et même l'amour) mais je n'ai jamais réellement eu l'impression qu'ils étaient en danger. Avec un bémol toutefois : certains d'entre eux peuvent mourir de manière totalement inattendue (oui, même ceux qui sont le plus mis en avant).
Cet ouvrage se lit vite, on est porté par le courant de l'action, on voyage avec les personnages en tentant de comprendre ce qu'il se passe. La fin de ce premier tome (car une suite est attendue) pose d'ailleurs plus de questions qu'elle n'apporte de réponses. Ce qui donne en général plutôt envie de lire la suite... comme c'est le cas pour moi. En décembre 2014, février 2015 et juin 2015, trois nouvelles seront publiées en format numérique. Elles apporteront des éclaircissements sur trois des douze héros du livre. Les autres tomes devraient sortir en octobre 2015 et 2016... occasionnant à chaque fois une nouvelle chasse au trésor.
Même si ce roman n'est pas un coup de cœur, je conseillerais ce livre aux amateurs de mystère, de suspense et d'action... et à tous ceux qui n'ont pas peur de l'hémoglobine.

Lisez les premières pages ici : 




lundi 20 octobre 2014

Photos d’automne

 

Dans mon jardin, il y a

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des fleurs de thé

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des chardons

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des roses

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des fleurs qui se dressent parmi les feuilles mortes

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et des citrouilles qui se transforment en princesse pour leur anniversaire

lundi 6 octobre 2014

Gilet d’automne

Et voilà un petit gilet automnal pour la Môme Caoutchouc, d’après le modèle Belle

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En utilisant les restes de pelotes, je suis en train de réaliser un deuxième gilet pour la Citrouille sur le même modèle

lundi 29 septembre 2014

Tant que nous sommes vivants

Voilà un titre qui sonne bien pour recommencer à remplir un peu ce blog, qui était en cure de sommeil depuis cet été : Tant que nous sommes vivants est surtout le titre d'un roman de Anne-Laure Bondoux.
Couverture Tant que nous sommes vivants

4eme de couverture : "Nous avions connu des siècles de grandeur, de fortune et de pouvoir. Des temps héroïques où nos usines produisaient à plein régime, et où nos richesses débordaient de nos maisons.
Mais un jour, les vents tournèrent, emportant avec eux nos anciennes gloires. Une époque nouvelle commença. Sans rêve, sans désir.
Nous ne vivions plus qu'à moitié, lorsque Bo entra, un matin d'hiver, dans la salle des machines."
Folle amoureuse de Bo, l'étranger, Hama est contrainte de fuir avec lui. Commence alors pour eux un fabuleux périple à travers des territoires inconnus. Leur amour survivra-t-il à cette épreuve ? Parviendront-ils un jour à trouver leur place dans ce monde ?


Déjà, je peux vous dire que j'adore la couverture de ce titre, qui correspond parfaitement à son contenu. Ce livre est plein de poésie, de zones d'ombre, de voyages... et même d'éléments mystiques.
Je ne résiste pas au plaisir de vous en noter la première phrase "Nous avions connu des siècles de grandeur, de fortune et de pouvoir." J'ai beaucoup apprécié la manière dont ce roman commence, avec ce narrateur en "nous" qui nous raconte une histoire qui concerne tout un monde.
Il y a un formidable courant d'optimisme dans ce livre, avec ces personnages qui ne se laissent pas abattre malgré ce qu'ils peuvent traverser (et tous les épisodes de ce roman ne sont pas tendres). L'aspect magique de certaines de leurs aventures donne à ce roman un petit aspect conte de fées, qui n'était pas non plus pour me déplaire. Mais... mais j'ai parfois eu l'impression que l'auteur était restée à la surface de certains éléments. Le passé des personnages, leurs motivations profondes, restent parfois cachés. Comme si, une fois que l'histoire a pris un chemin, les autres sentiers étaient fermés par des ronces infranchissables et oubliés dans l'ombre. J'ai parfois trouvé ça un peu frustrant (je n'aime pas qu'un personnage disparaisse sans que je sache ce qu'il advint de lui. Je sais, la vie fonctionne ainsi, mais les livres permettent de transcender la vie, non ?)
Sinon, ce livre est bien écrit, et si je n'ai pas aimé ces disparitions, c'est sans doute parce que je m'étais attachée aux personnages, ce qui est plutôt un gage de réussite en général. Je pense même que c'est voulu par l'auteur, si je m'arrête sur cette autre phrase tirée de son texte "Existe-t-il, s'interrogea-t-elle, un endroit où nous attendent ceux qui nous manquent ?"

samedi 26 juillet 2014

Vieux, râleur et suicidaire, la vie selon Ove

Généralement, j'apprécie assez l'humour de la littérature nordique. Le titre de Fredrik Backman, Vieux, râleur et suicidaire, la vie selon Ove, ne fait pas exception à la règle.

 Couverture Vieux, râleur et suicidaire : La vie selon Ove

4ème de couverture :
« Ove et le chat se sont rencontrés un matin à six heures moins cinq. Le chat a détesté Ove sur-le-champ. Le sentiment était plus que réciproque »
Dans le lotissement où il vit depuis quarante ans, Ove est connu pour être un râleur de la pire espèce. Mais depuis qu'il est sans travail, il se sent seul et inutile. Il erre dans sa maison, fait des rondes de quartier pour relever les infractions des habitants. Jusqu'au jour où, las de cette routine, il décide d'en finir. Corde au cou, debout dans le salon, il est prêt à passer à l'acte...
C'est sans compter l'arrivée de nouveaux voisins et d'un chat abandonné. Interrompant involontairement ses tentatives de suicide, ceux-ci vont peu à peu pousser Ove dans ses derniers retranchements et le ramener à la vie !
Tel un chat de gouttière amoché et craintif, à la fois drôle et touchant, Ove réveille l'instinct protecteur qui sommeille en chacun de nous. Mais attention, il griffe !


Ce livre interpelle dès son titre, qui m'a d'abord fait penser à Petits suicides entre amis d'Arto Paasilinna.  On suit cette fois un personnage qui, de prime abord, n'a rien de sympathique. L'une des occupations favorites de Ove est ainsi de faire le tour de son quartier et de noter sur un carnet les références des plaques d'immatriculations des voitures garées pour vérifier que personne ne reste plus de 24 heures sur un même emplacement, conformément au règlement. Il a par ailleurs un certain nombre d'idées préconçues sur la manière dont les choses doivent être faites ou les voitures qui méritent ou non d'être conduites. 
Pourtant, au gré des pages, alors que ce personnage se rappelle par moments ses jeunes années, on en vient à mieux le connaître... et à mieux l'apprécier. D'ailleurs, l'auteur ne cherche jamais à le critiquer ni à le présenter sous des traits détestables. Il y a beaucoup de verve et d'humour dans la description de ce misanthrope maniaque. Le récit alterne donc les flash-backs sur la vie d'Ove et sa rencontre avec de nouveaux voisins plutôt envahissants (lesquels comptent un chat pelé, un maladroit chronique et une femme enceinte au bord de la crise de nerfs). 
Le texte compte aussi de réels moments de tendresse, notamment quand il s'attarde sur la relation qui lie Ove à sa femme. Cet amour est vraiment très beau et très touchant. 
Bref, en alliant un humour caustique et une vraie tendresse, cet ouvrage est un pur moment de bonheur. Parfait pour passer un bon moment !

lundi 21 juillet 2014

Travaux d’été

Pendant cette année chargée (très chargée), je n’ai pas complètement perdu la main… ni les aiguilles.

La preuve en images

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Un petit color affection que j’affectionne beaucoup

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Et aussi un pull pour ma citrouille

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vendredi 20 juin 2014

Ici et maintenant

Quand j'ai eu l'occasion de lire Ici et Maintenant, le dernier opus de Ann Brashares (l'auteur de 4 filles et un jean), j'ai tout de suite sauté sur cette occasion.


4ème de couverture
Suivez les règles.
Souvenez-vous de ce qui s'est passé.
NE TOMBEZ JAMAIS AMOUREUX.


Voici l'histoire de Prenna James, une jeune fille de dix-sept ans qui a immigré aux Etats-Unis, à New York, à l'âge de douze ans. Mais Prenna ne venait pas d'un autre pays. Elle venait... d'une autre époque, du futur. Prenna et ceux qui ont fui avec elle jusqu'au temps présent, doivent suivre un ensemble de règles strictes pour assurer la survie du genre humain : ne jamais révéler d'où ils viennent, ne jamais interférer dans le cours de l'Histoire, et ne jamais développer de relations intimes avec quiconque en dehors de leur communauté. Mais Jenna rencontre Ethan Jarves...



Ann Brashares s'essaye donc maintenant à la science-fiction, et elle ne s'en sort pas si mal. Il fallait en effet imaginer ce groupe d'émigrés du futur qui tentent de se fondre dans notre population. La meilleure partie de l'ouvrage réside d'ailleurs pour moi dans la description de leur manière de vivre, des codes qui régissent leur groupe... C'est là que l'auteur a le plus fait preuve d'imagination et c'est plutôt réussi et crédible.
Le personnage principal est une jeune fille qui tente de comprendre justement la raison de ces règles et qui se rebelle un peu contre elles, sans oser le faire complètement. Une adolescente, en fait, mais une adolescente qui ne se révolte pas juste pour le plaisir de le faire, elle réfléchit et assume ses actes. Son cheminement est donc assez intéressant.
Le livre présente quelques rebondissements surprenants, d'autres qui se devinent plus vite, et un fil directeur qui aide les pages à se suivre sans aucune difficulté. Cet ouvrage se lit très rapidement d'ailleurs.
Son principal défaut, selon moi, est son côté un peu trop didactique, on a l'impression que l'auteur veut faire passer une leçon, un message, à travers son texte, et c'est un peu trop mis en avant. Un petit peu moins d'insistance sur le sujet aurait été préférable (même si les questions environnementales et relationnelles soulevées dans le roman sont tout à fait pertinentes).

jeudi 19 juin 2014

Swap Dr Who

Comme vous avez pu le constater vu la fréquence des mises à jour ces derniers temps, je suis assez occupée en ce moment. Je viens de réussir ma deuxième année de licence de lettres par correspondance (youhou !), j’ai un autre gros dossier en cours… je m’étais néanmoins inscrite en automne dernier à un swap particulier, vu qu’il portait sur le dr Who (dont je suis maintenant une grande amatrice). Cette semaine, nous avons échangé nos colis avec ma swappée, t voici ce que j’ai reçu

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Ah bon, vous ne voulez pas juste voir des emballages cadeaux (ils sont bleu, pourtant, c’est beau le bleu) ?

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Voilà une vue d’ensemble…

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Et, en détail, de jolis marque-page faits main et une carte d’invitation dans le Tardis (j’adore !)

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Des livres du Dr Who, évidemment (il est d’ailleurs amusant de voir que, sans s’être concertés, on s’est offert les mêmes. Ils devaient vraiment nous plaire ces deux-là !), Les Filles de Mr Darcy (moi, une fan de Jane Austen ? Mais non voyons ! Ou alors un tout petit peu… Bon, d’accord, beaucoup!) et un livre sur l’Egypte

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Des biscuits (qui ont l’air trop trop bons) et du thé pour accompagner ma lecture.

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Et un fez emblématique de Eleven ainsi qu’un Dalek prêt à exterminer la poussière (excellent).

Bref, j’ai été bien gâtée.

Pour voir ce que ma swappée a reçu, c’est par ici.

mardi 22 avril 2014

Pour l'amour du chocolat

Pour le week-end de Pâques, je me suis offert une gourmandise livresque, un livre thématique : Pour l'amour du chocolat de José Carlos Carmona.



4ème de couverture :
Lausanne, 1922. Le jeune Adrian Troadec, dix-huit ans, livreur de lait de son état, tombe amoureux de la jeune violoncelliste Alma Trapolyi. Pour la séduire, il s'essaie à la musique, sans succès; puis aux échecs. Il devient champion de Suisse et découvre par la même occasion le pouvoir du chocolat : sa force, son mystère, sa douceur. Adrian a trouvé sa voie et ouvre sa boutique, Le Petit Chocolat Troadec. C'est le début d'un empire.
Le violoncelle et les échecs ont laissé Alma indifférente, mais le chocolat est une réussite : elle se rapproche d'Adrian ... et se fiance avec un autre ! De la Suisse des années 1920 à l'Amérique du jazz, les personnages, de part et d'autre de l'Atlantique, traversent un krach boursier et une guerre mondiale, affrontent la maladie, l'adultère, le suicide et la mort. Mais quand rien ne va plus, il reste toujours le goût du chocolat ...


Ce livre était présenté à la bibliothèque de ma ville et sa couverture intrigante a attiré mon œil : ce violon qui fond et se transforme en chocolat laissait supposer une coulée de mystère. Le résumé étant tout aussi alléchant, je l'ai emprunté... et je ne l'ai pas regretté.
Ce livre se lit très vite : les chapitres sont extrêmement courts, ils ne font qu'une à deux pages en moyenne. Le style est donc très simple, presque épuré, et se concentre sur l'histoire en évitant les descriptions. Les personnages ne sont pas présentés dans les moindres détails, et pourtant ils sont attachants; surtout Adrian Troadec, un livreur de lait qui, pour séduire la femme de ses rêves, devient un joueur d'échec puis un magnat du chocolat. Il est tenace, garant d'une certaine philosophie et d'un calme impressionnant. C'est le genre de personnes que l'on a envie de connaître, à l'instar de ceux qui parcourent le livre.
En racontant leurs vies, l'auteur les inscrit dans la course du temps : les grands événements qui leur arrivent sont toujours reliés à l'histoire du monde, sortie de nouveaux filmes, conflits mondiaux, musiciens qui se font connaître... Cela remet les choses dans leur contexte, sans insister dessus.

Ce livre se lit comme une petite gourmandise, un carré de littérature que l'on peut déguster sans culpabilité.

Citation : "Là, il se protégea du monde entre ses jeunes élèves et un vieux piano Steinway".

vendredi 18 avril 2014

Mon père est parti à la guerre

Il y a plein de centenaires cette année... dont celui de la guerre 14-18. Les plus jeunes aussi peuvent être amenés à mieux la connaître, grâce à certains ouvrages particulièrement bien choisis qui la leur présentent. Mon père est parti à la guerre, de John Boyne, en fait partie.
Couverture Mon père est parti à la guerre

4ème de couverture : 28 juillet 1914. Le jour où la guerre éclate, le père d'Alfie promet qu'il ne s'engagera pas. Et rompt sa promesse le lendemain. Quatre ans plus tard, Alfie ignore où il se trouver. Est-il en mission secrète comme le prétend sa mère ? Alfie veut retrouver son père.


Ce livre nous parle de la Première Guerre mondiale non pas depuis les tranchées, mais depuis le point de vue des civils restés sur place. Le personnage principal est ainsi un jeune garçon, qui a seulement 5 ans le jour de la déclaration de guerre. Son père part au front et il reste seul avec sa mère, dans une ville presque désertée des hommes. Les années de guerre sont assez peu développées, puisque la majeure partie de l'histoire se déroule quatre ans plus tard, mais les conditions de vie sont quand même plus qu'évoquées. La vie n'était pas facile non plus pour les civils... Pourtant, ce livre ne cherche pas à faire pitié : alors même qu'il évoque des événements durs, comme les séquelles laissées par les combats, il n'émet pas de jugement direct. Comme tout est vu par les yeux d'un enfant, le message principal reste qu'il faut bien avancer, quoi qu'il en soit, quoi qu'il en coute. Sans oublier pour autant, justement, les conséquences des conflits.
Il y a de l'action dans ce livre, quelques rebondissements. Suffisamment de mystère aussi pour donner envie d'avancer dans l'histoire. Les flash-backs fréquents pourront peut-être décontenancer les jeunes lecteurs, car il faut bien suivre l'histoire pour ne pas s'y perdre. Ce livre est d'ailleurs conseillé à partir de 10 ans, personnellement, je ne le ferais lire à cet âge-là qu'à des lecteurs confirmés, capables aussi d'une certaine réflexion. Les événements narrés sont loin d'être légers et peuvent inquiéter les plus sensibles.
Le personnage principal est attachant, même si l'auteur garde une certaine retenue par rapport à lui. Ses pensées sont néanmoins bien retranscrites et il est facile de se mettre à sa place. Les personnages qui l'entourent sont croqués en quelques traits qui permettent très vite de se les représenter (j'aime beaucoup sa grand-mère, par exemple).

jeudi 17 avril 2014

Trois filles et leurs mères

Cette année, c'est le centenaire de la naissance de Marguerite Duras. Pour l'occasion, j'ai lu plusieurs livres de cet auteur, que je n'avais encore jamais lue auparavant. Quand les éditions Charleston m'ont proposé de découvrir la triple biographie romancée Duras, Beauvoir, Colette, trois filles et leurs mères, de Sophie Carquain, j'ai également sauté sur l'occasion.
Couverture Trois filles et leurs mères : Duras, Colette, Beauvoir

Je trouve toujours intéressant de découvrir le parcours des artistes que j'admire, non pas en parcourant la presse people, mais pour mieux comprendre comment ils se sont construits. Cet ouvrage répond parfaitement à ce désir, et m'a amené à connaître un peu mieux ces trois figures de la littérature. Je ne m'étais ainsi jamais interrogée auparavant sur la vie de Simone de Beauvoir avant Sartre, maintenant j'imagine un peu mieux quelle petite fille elle a pu être. Et il en est de même pour Duras et Colette.
Il y a un aspect historique certain dans cette démarche, qui permet de se rappeler aussi quelle vie les femmes, et surtout les petites et jeunes filles, menaient il y a seulement un siècle. Ce n'est pas si lointain et c'est un monde derrière nous pourtant. Au-delà pourtant de la curiosité littéraire, cet ouvrage s'interroge sur les relations entre ces femmes et leurs mères. Toutes les mères comptent, toutes ont leur influence sur la vie de leurs enfants, d'une manière ou d'une autre. Certaines sont des Folcoche, d'autres sont aimantes, parfois envahissantes... Les souvenirs des mères se trouvent dans les pages de nombreux romans, même leur absence peut être parlante. Celles des trois auteurs donnés à voir dans cet ouvrage ont eu elles-aussi leur importance. Leur place dans les pages du livre ne cède d'ailleurs en rien à celle de leurs filles. Et ce rapport mère-fille se glisse parfois dans les propres souvenirs de la narratrice, qu'elle glisse parfois en fins de chapitres. Cette particularité fait de ce livre une idée de cadeau de fête des mères particulièrement pertinente... du moins si vous ne craignez pas que votre mère ne considère cet ouvrage comme un reproche (les mères citées dans l'ouvrage n'ont pas que des qualités).
L'aspect "romancé' du livre reste heureusement assez en retrait : certes, il est difficile de dire quelles conversations ont réellement eu lieu ou pas, mais les grandes lignes de la vie de ces auteurs sont elles bien réelles et facilement vérifiables. Le livre se parcourt donc facilement, donne des informations sans être aride... et m'a donné envie d'en savoir encore plus sur ces auteurs et de relire leurs œuvres. Ce qui n'est pas si mal !

En plus :
Pour lire un extrait
Une interview de l'auteur

jeudi 13 mars 2014

Réseau(x)

Je vous avais déjà parlé de la trilogie Instinct de Vincent Villeminot il y a quelques mois. j'étais donc très curieuse de découvrir son nouveau roman Réseau(x)
Couverture Réseau(x), tome 1

4ème de couverture : Sur les réseaux, tout le monde pense connaître tout le monde. Tout le monde aime, surveille, espionne tout le monde. Mais désormais, une guerre est déclenchée, sur le web et dans le monde réel. Et Sixie, 15 ans, est l'enjeu, le butin, le gibier de tous les combattants...

Je dois dire que le début de ce titre m'a un peu déconcertée. Si je n'avais pas déjà lu la précédente trilogie de cet auteur, je ne sais pas si j'aurais poursuivi longtemps ma lecture. En effet, au début, différents personnages sont présentés à tour de rôle, sans liens apparents entre eux, et il est difficile de comprendre dans quel sens avance l'histoire.
Heureusement, après quelques pages, les liens se nouent, les événements se précisent... et il devient de plus en plus difficile de laisser le roman de côté. Il y a un petit côté Tarantino chez Vincent Villeminot, dans les escalades de violence qu'il n'hésite pas à décrire. Ce n'est pas tellement que le sang apparaît, il détourne la caméra... ou plutôt le stylo au bon moment, mais il met en scène des personnages qui n'éprouvent aucune difficulté à faire du mal, d'une manière qui est même parfois dérangeante. Ce n'est là qu'un des aspects du livre, mais il fait partie aussi de l'écriture de ce romancier, et c'est important de le savoir.
Le roman en lui-même parle de réseaux numériques, de ce qu'il subsiste de vie privée à travers eux, de manipulations... mais aussi d'amitié, de vengeance, voire d'amour. Les nombreux retournements de situation dynamitent tout risque d'ennui et, à chaque page, on se demande ce qu'il va se passer ensuite. Les amateurs de jeu vidéo devraient aussi y trouver leur compte, à travers les nombreuses allusions à cet univers. J'aime d'ailleurs beaucoup l'idée du Play it for real, telle qu'elle est présentée au début de l'ouvrage... Mais il vous faudra le lire pour mieux la comprendre.

et pour en savoir plus : la page facebook du livre
un prequel inédit

jeudi 16 janvier 2014

En cas de forte chaleur

Quand Babelio et les éditions Belfond m'ont proposé de lire En cas de forte chaleur de Maggie o'Farrell, je n'ai pas pu résister : une histoire de famille, qui se passe en Irlande ? J'étais tout à fait disposée à lire cet ouvrage.
Couverture En cas de forte chaleur

4ème de couverture : Comme chaque matin depuis trente ans, Robert Riordan part acheter son journal. Mais en ce jour caniculaire de juillet 1976, Robert part et ne revient pas.
Dans leur maison londonienne, Gretta, sa femme, s'interroge : quelle mouche a bien pu le piquer ? Doit-elle prévenir les enfants ?
À peine réunis, ces derniers tentent de prendre la situation en main : les placards sont retournés, les tiroirs vidés, chaque pièce fouillée en quête d'indices.
Mais, alors que le mystère autour de leur père s'épaissit, les vieilles rancoeurs ressurgissent. L'aîné en a assez : pourquoi est-ce toujours à lui de prendre en charge sa famille ? Quant aux deux soeurs, jadis si proches, quel événement a brisé leur lien, si terrible que la cadette a décidé de mettre un océan entre elles ? Et Gretta, a-t-elle vraiment tout dit ?



Il s'agit d'un roman à plusieurs voix : chacun des enfants de la famille s'exprime à tour de rôle. Ce procédé permet de mieux les comprendre et de voir aussi que la manière dont les autres les perçoivent est parfois tronquée. Ce qui amène forcément à réfléchir sur nos propres liens familiaux.
Ce n'est pas un roman d'action, c'est un roman sur la famille : un jour, le père sort acheter son journal quotidien... et ne revient pas. Les enfants, adultes, viennent entourer leur mère et l'aider à comprendre où son mari a pu disparaître. Comme souvent, une situation de crise permet de résoudre des conflits larvés et de mettre au grand jour des choses enfouies depuis longtemps. J'ai  bien aimé la manière dont les rapports entre les personnages se dévoilent peu à peu et dont les secrets sortent du placard. J'ai été souvent surprise par ce livre, parce que l'auteur ne s'amuse pas à jouer avec nous et à semer des indices, et j'ai vraiment été emportée par l'histoire. C'est le genre de livres où on finit par se sentir tellement bien avec les personnages que l'on n'a pas envie de les laisser.
Chacun d'entre eux a d'ailleurs sa personnalité, et je trouve que cette approche est réalisée très finement. Entre la "fille qui fait tout pour satisfaire ses parents", la "rebelle" et "l'intello", on retrouve des êtres qui ne se sont jamais vraiment remis de leurs enfances (mais qui y parvient ?).
Ce livre m'a aussi fait découvrir comment les Irlandais immigrés à Londres pouvait être perçus il y a seulement quelques décennies, et c'est une véritable immersion culturelle pour moi. Les paysages irlandais ne sont pas trop présents, puisque l'essentiel de l'ouvrage se situe en Angleterre, mais cela ne m'a pas autant manqué que j'aurais pu le croire (oui, j'aimerais visiter l'Irlande un jour).
Bref, une jolie découverte (il faut que je tente de me procurer les autres livres de cet auteur), et un roman qui donne envie d'appeler ses frères et sœurs pour leur dire qu'on les aime... J'apprécie.

vendredi 10 janvier 2014

Warp, tome 1

Je suis une grande fan des histoires de voyages dans le temps, ça me fascine complètement. Ces dernières années, on a vu apparaître quelques ouvrages en littérature jeunesse qui explorent cet univers. Eoin Colfer, l'auteur de Artemis Fowl (que je n'ai pas encore lu), c'est à son tour prêté à cette expérience.
Couverture W.A.R.P, tome 1 : L'assassin malgré lui

4ème de couverture : Nom de code : W.A.R.P. Programme de protection des témoins du FBI classé ultrasecret jusqu’au jour où… Ryley, un orphelin de l’époque victorienne, se retrouve soudain projeté dans le xxième siècle, bientôt suivi par son maître, le diabolique… Albert Garrick, illusionniste et tueur à gages, lancé sur ses traces et celles de… Chevie Savano, la plus jeune agente du FBI, qui n’a pas froid aux yeux. Une hallucinante course-poursuite à travers le temps, Riley et Chevie sortiront-ils vivants de cette traque implacable ? Et pourront-ils empêcher le redoutable Garrick de s’approprier les clés du programme WARP et de changer le cours de l’Histoire ?


Je me suis donc plongée dans cet ouvrage, qui sort ce mois-ci, avec délectation. Le début m'a pourtant un peu surprise, je me demandais où l'auteur voulait nous emmener avec son histoire d'agent du FBI trop jeune pour exercer... Je voulais de l'Angleterre victorienne et des paradoxes spatio-temporels, moi ! À ce niveau, d'ailleurs, le personnage le plus intéressant pour moi est bien le jeune adolescent venu du passé qui est projeté tout à coup dans notre présent. Non seulement il est intelligent et plutôt doué, mais ses réactions par rapport à notre manière de vivre étaient intéressantes (même s'il s'est finalement vite adapté). Par contre, il sera difficile de faire pire que le méchant de cette histoire, un être mal-intentionné, avec des super-pouvoirs et une connaissance développée !
Pourtant, même s'il était évident que les "gentils" allaient devoir se montrer très rusés pour échapper à ses griffes, je n'ai pas réellement ressenti de tension. Sans doute parce que l'on sait généralement, en terminant un roman, que les choses vont forcément bien se terminer (du moins dans la plupart des cas).
Les actions se suivent cependant, sans temps mort, mais j'ai été un peu frustrée par ce roman. Déjà, il n'y a pas de paradoxes spatio-temporels (et pourtant, il y avait matière pour en créer... ), du coup, certaines actions et réactions semblent peu crédibles. Les personnages sont ensuite relativement peu creusés, malgré quelques bonnes idées (le rouquin est intriguant, comme un certain tatoueur...). Et le côté "historique" est aussi peu fouillé, j'aurais aimé une immersion plus intensive dans le passé.
À mon sens, il s'agit là plus d'un roman pour jeune adolescent, qui cherche avant tout de l'action, sans trop de réflexion autour. Il est néanmoins bien construit, avec quelques bonnes surprises, et donne envie de connaître la suite (oui, il s'agit d'un tome 1). C'est donc une impression en demi-teinte pour moi, mais sans doute parce que je ne faisais pas vraiment partie du public visé par ce livre.

mardi 7 janvier 2014

Swap tissons des liens- colis n°4

Et voilà déjà le dernier colis de l'année pour le Swap Tissons des liens. XL a reçu celui que je lui ai envoyé juste avant Noël et nos agendas trop remplis ont finalement poussé Myapianocanta à m'envoyer son colis par la poste. Ce cadeau de Noël surnuméraire était fantastique à déballer :

Pour commencer, un colis bien rempli



 Ensuite plein de laine pour me tricoter de jolies choses
 Quelques gourmandises : du chocolat en poudre et des chocolats tout courts !
 De jolis marque pages, une décoration de Noël toute mignonne et un baume pour la peau qui sent très bon.
La série entière de Twilight, que j'avais seulement emprunté et qui ne faisait toujours pas partie de ma bibliothèque
Le premier tome du Trône de fer, que j'avais très envie de lire depuis que j'ai découvert la série ! Plus une jolie carte faite main et une autre en souvenir de son voyage à La Réunion.

Hasard de la poste, le même jour, je recevais d'ailleurs une petite enveloppe de XL :
Avec une carte et des marque-pages qui sentent bon les îles !