vendredi 29 mars 2013

Un peu de verdure

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Quand je vous disais que les fleurs commencent à sortir dans le jardin… en plus, je n’ai même pas eu besoin de les planter…

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jeudi 28 mars 2013

Activité du mercredi

Hier, c’était mercredi. Pâques s’approche, donc j’en ai profité pour faire quelques activités avec les filles (ça faisait longtemps)

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Voilà deux petites filles qui ont peint des poules !!!

mercredi 27 mars 2013

Swap tissons des liens – 1er échange

Je vous avais déjà dit que je m’étais inscrite au Swap Tissons des liens, en trinôme avec Myapianocanta et XL. Après une première rencontre il y a quelques semaines, nous avons procédé à un premier échange en mini-chaîne : j’offrais à Myapianocanta, qui offrait à Xl, qui m’offrait à son tour ses cadeaux. Ce fut l’occasion d’un bel après-midi ensoleillé (on a passé des heures dehors et je n’ai pas vu le temps passer), de discussions intéressantes et d’ouverture de paquets à tour de rôle. j’avais oublié mon appareil photo donc voici le seul cliché pris sur place, des paquets emballés.

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Xl avait choisi un joli papier bleu (ma couleur préférée) assortis de petits stickers très mignons.

Et voici ce que ces paquets contenaient :

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Une tasse Snoopy, qui vient compléter ma collection liée à ce personnage !

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Des marque-page représentant mon goût pour la littérature Young Adult et aussi les hortensias bretons de XL !

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Des biscuits qui ont déjà été tous dévorés, des moules à cupcakes (trop kawai !!!) et des mini-marshmallows que je vais bientôt tester en cuisine (j’ai promis une photo le moment venu)

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Le tome 1 de Vango, qui rejoint enfin ma bibliothèque
l’Elue, la suite du Passeur, que j’ai hâte de lire !

Vous trouverez ici et ici les autres colis du jour.

En attendant, les filles, on a parlé de se faire une réunion de gourmandes (spéciale crêpes), ce n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde ! On se revoit quand vous voulez.

mardi 19 mars 2013

Il était une rivière

Grâce à Livraddict et aux éditions  JC Lattès  que je remercie, j'ai pu lire Il était une rivière, de Bonnie Jo Campbell.
Il était une rivière

4ème de couverture : Murrayville, petite cité ouvrière du Michigan, située au bord de la rivière Stark. Margo Crane, seize ans, y a vécu toute son enfance au côté de son grand-père, qui lui a appris à tirer comme personne et à pêcher dans les eaux poissonneuses de la rivière. Lorsque son grand-père meurt, que sa mère l’abandonne, les adultes vont très vite trahir la confiance que la jeune fille, solitaire et fragile, leur avait accordée.
Seule au monde, Margo s’embarque dans le bateau de son grand-père et, munie de sa carabine, de quelques provisions et de la biographie de son héroïne, Annie Oakley, « la petite femme au tir sûr », elle part à la recherche de sa mère. Mais le paradis de son enfance est devenu un lieu dangereux et inhospitalier pour une jeune fille qui doit survivre par elle-même.
Au cours de cette odyssée à travers le Michigan rural, où le contact avec la nature est parfois violent, Margo va devoir transcender de nouvelles épreuves et décider du prix à payer pour accomplir ses choix et trouver la paix intérieure.



Je ne suis pas une spécialiste de la littérature naturaliste, mais j'aime bien les romans qui exploitent les espaces naturels. Parlez-moi de personnages qui se promènent dans des forêts sauvages, qui suivent le cours des rivières ou qui se rappellent la manière de vivre des trappeurs, et je suis tout de suite très attentive. Je trouve ça beaucoup plus passionnant que la vie en ville.
J'étais donc forcément très curieuse de découvrir cet ouvrage, dont la force évocatrice me tentait beaucoup.
On y découvre Margo, une jeune adolescente qui grandit comme elle peut dans une petite ville qui porte le nom de ses cousins. Ceux-ci sont tout puissants dans cette zone, ils possèdent la principale usine qui fait vivre les travailleurs du coin. Margo a sa place parmi eux, elle passe beaucoup de temps dans cette famille pleine de vie, de dynamisme... Jusqu'à ce qu'un drame arrive. Puis un autre...
Les événements néfastes se succèdent dans cette histoire, au rythme des décisions de Margo. Si elle ne peut vraiment être considérée comme responsable des premiers d'entre eux, elle a pourtant une large part dans ce qui suit. Elle est pourtant pleine de bonnes intentions, mais d'une manière un peu sauvage : elle fonctionne plus à l'instinct qu'à la réflexion. Margo est plus animale qu'humaine, l'un des hommes qu'elle croise la traitera d'ailleurs d'enfant-loup... Car, si Margo est parfaitement capable de se débrouiller toute seule (elle chasse, pêche, vide les animaux, connaît les plantes), elle semble pourtant rechercher sans cesse la compagnie des hommes, quitte à se rendre dépendante d'eux, un peu à la manière d'un loup qui aurait été apprivoisé et qui est en quête de cette sécurité.
Ce livre décrit un peu le retour à la nature d'une femme-enfant, au milieu d'une faune et d'une flore plus accueillante que ses confrères humains. Il est d'une belle puissance évocatrice : en le lisant, l'impression tenace de se faufiler sous les frondages des arbres est persistante. La rivière est bien sûr un élément crucial dans l'histoire de cette nymphe des eaux (surnommée Nympho par ses cousins... un mot pas si anodin au final), mais elle n'est pas le seul élément qui importe.
J'ai un peu regretté la fin, qui, sans laisser réellement d'éléments en suspens, laisse l'histoire continuer, à la manière d'un éternel cours d'eau. Peut-être parce qu'une part de moi a un autre regard sur les liens familiaux et ne peut admettre qu'ils puissent se distendre ainsi. Il était une rivière n'est certainement pas un roman familial, c'est celui d'une personne et de son combat pour trouver la place qui lui est sienne dans le monde... quitte à ne pas respecter les conventions.

un extrait : "Pourquoi est-ce que tu te préoccupes tant de ce qui est normal ? dit Smoke, d'une voix que Margo trouva étonnamment passionnée. P..., c'est déjà assez difficile de décider comment vivre... sans s'inquiéter de ce qui est normal. Garde ta foutue normalité pour toi."

Le site de l'auteur : http://www.bonniejocampbell.com/

vendredi 15 mars 2013

La maison d'Hôtes

Grâce aux Éditions Charleston, j'ai pu lire La Maison d'hôtes de Debbie Macomber


4ème de couverture : Après la mort tragique de son mari, Jo-Marie décide de changer de vie, et reprend une maison d’hôtes dans la petite ville de Cedar Cove : la Villa Rose. Sa première cliente, Abby, a survécu à un accident de voiture, dans lequel sa meilleure amie a trouvé la mort. Elle n’a jamais eu le coeur à retourner dans la ville où elle est née, jusqu’à ce jour, dix ans après l’accident. Josh, le second client doit prendre en charge son beau-père, un vieil homme à présent, avec qui il ne s’est jamais entendu. Derrière les portes de la jolie maison d’hôtes, ces personnages inoubliables trouveront l’amour, le pardon et la possibilité d’un nouveau départ.


J'ai déjà lu d'autres livres de Debbie Macomber. J'avais bien aimé Un printemps à Blossom Street... mais surtout parce qu'il parle de tricot, il faut bien le reconnaître. J'étais néanmoins fort curieuse de découvrir une nouvelle série de cet auteur très prolifique... et je n'ai pas été déçue.
On y découvre Jo-Marie, une veuve qui décide de tout quitter pour recommencer une nouvelle vie, grâce à une maison d'hôtes qu'elle va ouvrir. Elle n'a aucune expérience dans ce domaine, mais elle a de la chance, elle reprend un lieu existant, et hérite donc des clients qui avaient déjà réservés. Ceux-ci ont grandi dans la petite ville de Cedar Cove et y reviennent pour des moments délicats de leur vie. Ceux-ci seront l'occasion de faire le point et, peut-être, de redémarrer aussi d'un meilleur pied.
Chaque chapitre suit les personnages à tour de rôle, aussi bien Jo-Marie que ses clients, et ils sont tous attachants. On les découvre fragilisés par la vie, on a envie de les entourer de douceur et de leur donner juste le petit souffle qui les poussera à avancer.
Le livre se lit très vite, il dégage une grande tendresse, comme tous ceux de l'auteur. Il y a des drames, bien sûr, mais ils ne sont jamais insurmontables. Il remonte même le moral, parce qu'il nous rappelle, justement, de ne pas nous arrêter aux écueils que la vie nous présente. Il y a toujours quelque chose de bon qui attend au détour du chemin...
Ce livre est le premier d'une série, et l'histoire de Jo-Marie est loin d'être terminée. Certains mystères à peine évoqués dans l'ouvrage méritent d'être développés. Il y a de nombreux personnages, croisés par l'héroïne, qui donnent également envie de mieux les connaître. Certains font déjà partie d'une autre des séries de l'auteur, d'ailleurs...

Pour vous donner une idée du style, vous pouvez telécharger un extrait sur le site des maisons Charleston.
Un prequel gratuit est également disponible. Ainsi qu'une interview inédite.

Et vous pourrez découvrir l'ensemble du travail de Debbie Macomber sur son site perso.

vendredi 8 mars 2013

Je vous écris d'Irlande

Le titre de ce post ne correspond malheureusement pas à la réalité (oui, j'aimerais bien aller en Irlande un jour). Il est cependant celui d'un livre, Je vous écris d'Irlande, un abécédaire écrit par Bernard Berrou, un véritable connaisseur de ce pays. Je l'ai reçu grâce à Babelio et aux éditions Dialogue.
Je vous écris d'Irlande

4ème de couverture : Dans cet abécédaire, Bernard Berrou s'attache à nous faire partager sa passion de l'Irlande. Entre carnets de route, rappels historiques et portraits étonnants, ces textes sont avant tout nourris par ses vagabondages et ses rencontres. Des îles d'Aran au Connemara, de Baltimore à Knock, de Cape Clear au Lough Ree, il s'efforce d'explorer la poésie de l'Irlande à travers les tourbières, les ruines, la pluie, les petites routes... les pubs, etc. Puis il évoque le souvenir de ceux qui l'accompagnent, des écrivains, des peintres, des figures héroïques qu'il salue au passage. Lorsqu'il nous parle des Irlandais, c'est pour célébrer leur sens de l'amitié, leur humour et leur génie verbal.
"Je vous écris d'Irlande" est une véritable déclaration d'amour à un pays de forte identité, marqué par les blessures de l'histoire.



Voilà un ouvrage qui m'a donc inspiré dès le titre. Le voyage en terre d'Irlande a bel et bien lieu alors que les pages se tournent. On y découvre des paysages encore sauvages (même si certains d'entre eux ont subi l'urbanisation galopante), des personnes hautes en couleurs qui donnent envie de mieux les connaître. L'auteur n'hésite pas non plus à citer d'autres écrivains, ou des cinéastes, qui ont parlé de l'Irlande, en livrant parfois de longs extraits de leurs œuvres (ou comment donner envie de développer encore sa bibliothèque). Ce sont autant de petits passages, chaque lettre est représentée par quelques pages seulement, qui sont des instantanés pris sur le vif d'un lieu et d'une époque.
Le style est travaillé, tout en étant personnel. Bernard Berrou n'hésite pas à évoquer ces longues heures passées dans les pubs irlandais et la poésie que ces périodes font naître dans son regard. Il a cependant du vocabulaire, n'a pas peur de monter à l'assaut des longues phrases ou de se lancer dans des randonnées à travers des paragraphes descriptifs. Pourtant, alors que je ne suis pas spécialement une adepte des descriptions interminables, je les ai appréciées dans cet ouvrage, peut-être parce qu'elles en sont le souffle. Peut-être aussi parce qu'elles ne sont pas si longues et que, finalement, elles m'ont donné envie d'emprunter les mêmes chemins pour vérifier les dires de l'écrivain.
Ce n'est pas vraiment un ouvrage à lire d'une seule traite. Il est bien plus appréciable de piocher dedans, pour y revenir au gré de ses envies. D'ouvrir de temps en temps le livre pour en parcourir quelques pages, juste le temps de prendre un peu d'air irlandais avant de repartir dans sa vie quotidienne...

dimanche 3 mars 2013

Je ne perds pas la main

Quitte à être dans une phase créative… J’ai fait deux pages de scrapbooking ce week-end (c’est que j’ai un album de mariage à terminer, moi !)

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samedi 2 mars 2013

Cadeaux de famille

Il y a eu quelques naissances dans ma famille ces derniers mois. Ce qui veut dire que j’ai réalisé de petits cadeaux. Je vous avais déjà montré la couverture réalisée pour mon neveu, il a aussi eu droit à un pull tricoté main pour passer l’hiver

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Un pull tout doux, et facile à enfiler, d’après un modèle de la Droguerie.

Ma filleule, née en février, n’allait pas non plus se passer d’une couverture en patchwork.

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Un modèle recto-verso, pour s’associer à toutes ces humeurs, dans des tissus un peu anciens, pour rester dans l’idée du patchwork. Et doublée en bambou, pour éviter les risques allergiques (fréquents de ce côté de la famille)

Et pour le moment, j’ai trois projets tricots en cours…