mardi 4 janvier 2011

Tenir ses comptes

Nous sommes donc maintenant en 2011, et ces nouveaux chiffres à noter un peu partout (sur les courriers, sur les chèques…) ne sont pourtant pas les seuls qui comptent.

Par exemple, 4 est aussi un chiffre important. C’est l’âge de la Môme Caoutchouc et, a priori, aussi celui où nombre d’enfants refusent de se laisser enfermer dans des petites cases, quelle que soit la formule mathématique appliquée. En gros, ils sont difficiles, mais c’est de leur âge (ouf, ce n’est pas notre faute. Euh… Vous êtes sûr qu’à 5 ans c’est fini ? Parce que je vais attendre avec impatience son anniversaire, moi !)

Trois est un autre chiffre qui compte. Du genre : une tétée toutes les trois heures. Mmmm… Mais oui, bien sûr. Il faut croire que la Citrouille ne sait pas encore lire l’heure, c’est pour cela qu’elle réclame plus souvent. La prochaine fois, je lui mets une horloge devant les yeux quand elle pleurera de faim.

Deux. Deux, c’est un couple, c’est la “quantité” d’enfants qui forme notre famille (et on n’ira sans doute pas au delà. Ben oui, c’est plus facile pour partir en vacances ! Oubliés mes rêves de famille nombreuse, de toute manière, on n’a pas de petite maison dans la prairie non plus, alors…)

Un… Ce n’est pas le nombre de livres que je lis simultanément, ni le nombre de séries que je suis chaque semaine. Ni le nombre de repas que je fais par jour. Un, c’est un chiffre un peu petit, un peu restreint, un peu seul. Et pourtant, c’est toujours celui-là que l’on met en premier… Bizarre, non ?

Sinon, dans l’émission des Maternelles ce matin, ils parlaient justement d’autorité, ce truc étrange que je n’ai jamais possédé, même mon moniteur d’équitation me le disait quand j’étais enfant. Les “trucs” cités par une des mamans témoins, appris en atelier, sont justement ceux issus de la méthode de Gordon, dont je parlais la dernière fois.